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« PAS DE NOUVELLE RÉFORME EN VUE POUR LE SECTEUR VINICOLE », article paru dans « Europolitique » le 29 janvier 2013

Les producteurs vinicoles peuvent pousser un soupir de soulagement. Le commissaire Dacian Ciolos (Agriculture) a exclu tout nouveau changement aux règles régissant le secteur vinicole, lors d’un débat avec les eurodéputés en session plénière à Strasbourg, le 24 octobre. Le sujet avait fait l’objet d’une question (avec demande de réponse orale) émanant d’une vingtaine de députés, dont le président de la commission de l’agriculture Paolo De Castro (S&D, Italie).

L’organisation commune de ce marché a été réformée en 2008, pour rendre le secteur plus compétitif face à l’arrivée des vins du « nouveau monde » (Amérique du Sud et Australie). Il a notamment été décidé de supprimer progressivement les aides à la distillation et d’arracher des vignobles non compétitifs. Ces changements ont été suivis par une décision – dans le cadre de la réforme de la Politique agricole commune – d’autoriser l’augmentation de 1 % des plantations de vignes entre 2016 et 2030. « Les exploitants du secteur vinicole ont besoin de temps pour s’adapter à tous ces changements majeurs, et, comme la vigne, culture pérenne, relève de programmes à long terme, il semble difficile de tirer des conclusions à ce stade », ont souligné les députés. (Lire la suite…)

Communiqué de presse: Réaction d’Alain Lamassoure aux propos d’Angela Merkel sur l’élection du Président de la Commission européenne (28 octobre 2013)

ANGELA MERKEL SE TROMPE. Le traité de Lisbonne établit que le futur Président de la Commission européenne ne sera plus nommé comme un haut-fonctionnaire international, par entente secrète entre grands dirigeants. Il sera issu d’une élection législative gagnée par son parti politique à l’échelle de l’Europe, et il bénéficiera donc de la légitimité donnée par le vote des 500 millions de citoyens européens. Le Conseil européen se retrouvera dans la situation d’un chef d’Etat collectif, entérinant le vote démocratique. En revanche, il reste maître de choisir les titulaires des autres grandes fonctions crées par le traité.

Cette innovation est nécessaire pour achever de faire de l’Union un vrai pouvoir démocratique. Elle a été proposée devant la Convention européenne il y a déjà dix ans par les gouvernements français et allemand conjointement. Elle figure depuis dans la charte électorale du PPE. Elle est particulièrement urgente à un moment où montent de partout les ressentiments contre l’Europe en général, et contre le pays actuellement dominant en particulier : le moment est venu que l’Europe ait un responsable élu, un visage, un vrai chef de l’exécutif doté de sa légitimité propre. C’est ainsi que les citoyens prendront le pouvoir en Europe, comme ils l’ont dans chacun de nos pays.

« LGV Montpellier-Perpignan : l’Europe prête à financer neuf corridors transfrontaliers », article publié dans « Midi Libre », le 26 octobre 2013

L’Europe fixe de nouvelles priorités, prenant l’État français à contre-pied. Elle a 26 milliards d’euros à distribuer pour financer des LGV. Une annnonce faite jeudi soir à Nîmes par l’eurodéputé aquitain Alain Lamassoure, président de la commission des budgets au parlement de Strasbourg et ancien ministre.

Alain Lamassoure était invité par son homologue gardois Franck Proust à disserter sur l’Europe et les entreprises devant un parterre de responsables économiques. La rencontre était organisée par l’Interconsulaire du Gard, jeune structure qui réunit la chambre de commerce de Nîmes, celle d’Alès, la chambre de métiers et la chambre d’agriculture du Gard.

Le tronçon Bordeaux-Pays Basque réinscrit au rang des priorités nationales

Alain Lamassoure a révélé que le gouvernement français a discrètement réinscrit, il y a trois jours à peine, dans le calendrier des lignes TGV prioritaires à réaliser, le tronçon Bordeaux-la frontière espagnole, le long de la façade atlantique. Or la réalisation de cette ligne avait été reportée au-delà de 2030, par le gouvernement Ayrault durant l’été, tout comme le tronçon tant attendu Montpellier-Perpignan, les caisses de l’État étant exsangues. (Lire la suite…)

« Budget 2014 : le Parlement européen rétablit les financements pour l’emploi et la recherche », article publié dans le « Bulletin Quotidien » le 24 octobre 2013

Le Parlement européen a adopté hier à une large majorité (480 voix pour, 119 contre et 86 abstentions) le projet de budget de l’UE pour 2014. Il s’est prononcé en faveur d’un montant de 142,6 milliards d’euros en crédits d’engagements et 136,1 milliards d’euros en crédits de paiements en rétablissant notamment les financements supprimés par le Conseil en faveur de l’emploi, de la recherche et en ajoutant des fonds pour l’agence de gestion des frontières extérieures Frontex. Le Conseil et le Parlement disposent d’une période de 21 jours pour trouver un accord. Si la négociation aboutit, l’accord sera soumis au vote de la plénière lors de la session de novembre. Les montants votés par les eurodéputés restent en baisse par rapport au budget de cette année de 8,1 milliards d’euros (engagements) et de 4,3 milliards d’euros (paiements). Mais ils sont supérieurs à ceux votés par le Conseil de 141,8 milliards en crédits d’engagements et 134,8 milliards d’euros en crédits de paiements. Dans les domaines jugés essentiels pour relancer l’économie, tels que l’agenda numérique, la recherche, l’entrepreneuriat et les mesures de lutte contre le chômage des jeunes, le Parlement est revenu sur la baisse de 629 millions d’euros adoptée par le Conseil en juillet et il a même complété ce budget par 34 millions d’euros supplémentaires. Les élus ont aussi réintroduit les 500 millions d’euros des crédits du programme d’aide aux plus démunis que les gouvernements voulaient réduire à 365 millions à partir de 2014. (Lire la suite…)

« MEPs agree 5 percent cuts in bid to break budget deadlock », article publié dans « EUObserver » le 23 octobre 2013

MEPs have agreed to a 5 percent cut to EU spending in 2014, as the bloc scrambles to get its books in order in time for the next seven year budgetary cycle. Deputies in the Strasbourg Parliament voted on Wednesday (23 October) to cut EU spending by more than €8 billion to €142.6 billion in 2014, down from €150.8 billion in 2013. All budget headings, apart from administration, which covers the costs of the EU institutions, are set to be cut. However, EU cohesion funds, which includes structural funding to the bloc’s poorest regions, face the deepest cuts of over €7 billion. Under the proposal drafted by Danish centre-left MEP, Anne Jensen, spending on digital agenda policies and humanitarian aid would be slightly increased. Jensen also wants to increase funding for the Frontex agency, which deals with EU border control, in response to the recent tragedy off the coast of Lampedusa which left over 360 dead. However, the parliament’s plans, which would see a 5 percent cut in spending, are still €855 million higher than the level demanded by EU governments. Speaking after the vote Alain Lamassoure, the French chairman of the Parliament’s budgets committee, told reporters that the assembly was « not going into these negotiations on the back foot. » He noted that « virtually all » of the amendments endorsed by Parliament had the support of at least 3/4 of MEPs. Parliament’s position was approved by 480 votes, with 119 against and 86 abstentions. (Lire la suite…)

« Le Parlement européen exige plus d’un milliard de plus pour 2014″, dépêche AFP du 23 octobre 2013

Le Parlement européen a exigé mercredi le rajout de plus d’un milliard d’euros dans le budget 2014 pour assurer les paiements prévus et éviter un nouveau risque de cessation de paiements. « Il nous faut le milliard pour 2014″, a affirmé l’eurodéputé conservateur français Alain Lamassoure, président de la Commission des budgets du Parlement. En fait le Parlement a exigé 1,3 milliard d’euros de plus. Les Etats ont proposé un budget 2014 de 134,8 milliards, soit une coupe de 1,06 milliard par rapport aux demandes de la Commission. Par 480 voix pour, 119 contre et 86 abstentions, le Parlement a exigé un budget de 136,1 milliards. Le bras de fer est désormais engagé avec les Etats. Une période de conciliation va s’ouvrir pour tenter de trouver un accord avant la fin du mois de novembre. « Si les Etats refusent, alors il n’y aura pas de budget pour 2014 et la procédure des douzièmes provisoires s’appliquera », a averti M. Lamassoure. Ces douzièmes provisoires auraient pour base la proposition présentée par la Commission pour le budget 2014, qui comporte le milliard demandé. « Les Etats seront donc obligés de payer », a expliqué M. Lamassoure. (Lire la suite…)

Réunion de la commission des Budgets du Parlement européen, à Bruxelles

14 novembre 2013

Assemblée poitique du Parti PPE, à Bruxelles

12 novembre 2013 au 13 novembre 2013

14 h 30 : Intervention lors du 20ème anniversaire de l’Institut de Formation pour les Cadres Paysans et Acteurs de pays (Ifocap-Adour), Gouze – 64 (Salle des Fêtes)

9 novembre 2013

16 h 30 – Intervention lors du séminaire de La Poste intitulé « Où va l’Union européenne ? », à Paris (Maison de l’Amérique Latine)

7 novembre 2013
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