Rechercher :

Réunion de la commission des Budgets du Parlement européen, à Bruxelles

18 décembre 2012

19 h 00 : Soirée des porteurs de projets leader (accompagnés par le leader Haut Béarn), Mairie d’Oloron Sainte Marie

7 décembre 2012

18 h 00 : Rencontre avec les adhérents de Territoire d’Action à Oloron Sainte Marie (8, place de la Résistance)

7 décembre 2012

Dépêche AFP: « Budget UE : Herman Van Rompuy refuse de couper dans son projet de compromis », le 27 novembre 2012

Le président du Conseil européen Herman Van Rompuy, a annoncé mardi aux députés européens son refus de procéder à des coupes supplémentaires dans sa proposition de compromis pour le budget de la période 2014-2020 comme l’exigent plusieurs Etats membres.
« L’accord pour le budget se fera avec un niveau inférieur à la proposition de la Commission européenne, mais il n’est pas question d’aller au dessous des coupes que j’ai dû malheureusement proposer », a-t-il affirmé lors d’un débat sur les causes de l’échec du sommet sur le budget vendredi dernier.

Herman Van Rompuy a proposé un compromis avec 973 milliards d’euros en engagements, soit 75 milliards d’euros de moins que la demande de la Commission européenne. Cette proposition représente 1,01% du PIB de l’UE. (Lire la suite…)

Discours prononcé lors de la venue d’Herman Van Rompuy en Conférence des Présidents élargie sur le cadre budgétaire financier pluriannuel 2014-2020 de l’UE, au Parlement européen, à Bruxelles le 27 novembre 2012

Du temps de l’Europe des douze, on disait en souriant : autour de la table, il y avait 11 dirigeants qui parlaient d’Europe, et Mme Thatcher qui parlait de son argent. La semaine dernière, on a vu débattre 27 Mme Thatcher. Il n’était question que de couper, couper, couper. 27 bûcherons aveugles, chacun espérant sauver sa propre branche sans voir qu’il était en train d’abattre le tronc ! C’est-à-dire tous les programmes européens proposés par la Commission et préservés par le Président Van Rompuy.

Adieu l’agenda Europe 2020 ! Adieu le pacte de croissance ! Adieu l’Europe acteur global !

J’ajoute : attention à  la crédibilité du Conseil européen !

Comment les membres du Conseil européen peuvent-ils prétendre décider du budget communautaire jusqu’en 2020 s’ils ne sont même pas capables de faire exécuter le budget 2012 par leurs ministres concernés ? C’est notre situation aujourd’hui même, comme le Président Barroso vient de le rappeler. (Lire la suite…)

Articles publiés dans « Sud Ouest » (éditions du Béarn et du Pays basque), le 24 novembre

POLITICORAMA

Claude Bartolone en visite en Béarn

Le président de l’assemblée nationale, Claude Bartolone, est attendu ce matin en Béarn. Il visitera la société MAP à Serres-Castet et s’entretiendra avec le directeur d’Aquitaine électronique, nouveau président de l’UIMM pays de l’Adour, Christian Houel. Il se rendra ensuite à la fête de la Rose de Navailles-Angos où il donnera un meeting à 13 heures. Un vrai programme de campagne de séduction !

MAM : Modération Amour Mutuel

Michèle Alliot-Marie a réagi aux péripéties du comptage des voix de l’UMP. Elles ne doivent pas « occulter le fait que, dimanche dernier, plus de 175 000 adhérents de l’UMP se sont déplacés pour élire leur président. En ma qualité de dernière présidente élue du RPR, j’appelle chacun à la modération et au respect mutuel. Je suis prête à participer à toute action allant dans le sens de l’apaisement, de l’unité du parti. » Pour le rôle du médiateur, la place est déjà prise.

Alain Lamassoure déplore quant à lui l’image « catastrophique » de son parti que donne cette affaire. Il rappelle que, « dès le début, il avait souhaité que le président de l’UMP ne soit pas une personnalité qui ait des ambitions nationales personnelles ». Il en existe en politique ? (Lire la suite…)

« CONSEIL EUROPÉEN/CADRE FINANCIER PLURIANNUEL : POSER LA QUESTION DE CONFIANCE AU ROYAUME-UNI AVANT DE NÉGOCIER », Europolitique 23 novembre 2012

Il faudrait poser au Premier ministre britannique la question de confiance avant d’entamer les négociations sur le cadre financier pluriannuel 2014-2020 de l’UE (CFP), selon le président de la commission parlementaire du budget, Alain Lamassoure (PPE, France). (Lire la suite…)

« Il faut redonner à l’Europe un budget digne de ce nom », article publié dans « Les Echos », le 23 novembre 2012

L’Union européenne dispose d’un tout petit budget : 130 milliards, soit 1 % du PIB européen. Quand un Français gagne 100 euros, il paye 45 euros d’impôts et de cotisations obligatoires. 44 sont redistribués en France et 1 euro est envoyé par Paris à Bruxelles. Et encore, 70 centimes nous reviennent-ils de l’Union au profit de nos agriculteurs, nos PME, nos collectivités locales, nos étudiants et nos chercheurs.
 
Ce budget de poche obéit à des règles qui sont revues tous les sept ans : c’est maintenant que doit se décider la période 2014-2020. Le Conseil européen du 22 novembre intervient à un moment où le relatif apaisement des marchés financiers devrait permettre aux grands dirigeants de se poser les bonnes questions. Comment le budget communautaire peut-il désormais servir la famille européenne, en l’aidant d’abord à parachever la sortie des crises de la dette, puis à soutenir la croissance, partout défaillante, et, enfin, à retrouver la compétitivité là où l’on en a tant besoin ? Pour cela, quel doit être le montant du budget commun, comment faut-il le répartir entre les grandes politiques communes et comment doit-on le financer ? (Lire la suite…)

Interview diffusée sur BFM Business sur les négociations en cours sur le cadre financier pluriannuel de l’UE pour 2014-2020, le 22 novembre 2012

« le Parlement européen est prêt à montrer les muscles sur le budget », interview publiée sur le site de Jeunes européens-France, taurillon.org, le 23 novembre 2012

Alors qu’a débuté hier soir un Sommet européen des chefs d’Etat consacré aux négociations sur le budget de l’Union européenne pour la période 2014-2020, Alain Lamassoure, Président de la commission des budgets au Parlement européen, fait le point pour Le Taurillon sur les enjeux de ces négociations et les ambitions du Parlement européen face à des Etats membres désireux de sabrer dans le budget communautaire.

Le Taurillon : Aujourd’hui débute un sommet européen crucial pour l’avenir du budget de l’Union européenne. Pourtant, à part dans les médias spécialisés, ce sommet fait peu parler de lui, et il est peu probable que les citoyens « lambdas » soient bien informés à cet égard…Aussi, en quelques mots, en quoi ces négociations sont-elles décisives pour l’avenir de la construction européenne ?

Alain Lamassoure : Elles sont très importantes car on ne peut pas prétendre mener des politiques européennes consistantes si on n’y met pas un minimum d’argent.

Or, les meilleurs juristes français estiment que désormais, environ 70% des règles de droit nouvelles qui s’appliquent chaque année en France sont en fait décidées à Bruxelles, ou à Paris mais dans un cadre général fixé par l’Union européenne. En face de cela, la capacité budgétaire de l’Union est réduite : elle représente environ 1% du PIB européen. Quand un Français gagne 100 euros, il paye pour sa part 45 euros en impôts et cotisations obligatoires…Sur ces 45 euros, 44 sont redistribués en France par le budget de l’Etat, des collectivités locales, de la sécurité sociale, et un euro seulement est redistribué au niveau européen, servant à financer des politiques européennes. (Lire la suite…)

Older Posts »